Nos prêtres : Luc Mazola, Emile Ghattas, Jean-Luc Facqueur

Luc Mazola

Originaire de la République Démocratique du Congo. Prêtre du diocèse d’Évry depuis 2011, ordonné par Mgr Michel DUBOST en la cathédrale d’Évry. 

J’ai fait une grande partie de mes études philosophiques et théologiques à Innsbruck et Munich avant de rejoindre le diocèse d’Évry. 

Après avoir été dans les différents secteurs pastoraux (Bretigny, Draveil et Juvisy), j’ai été nommé depuis septembre sur secteur de Palaiseau avec une attention particulière sur le groupement de BIV. 

Heureux de faire vos connaissances aux différentes messes quant la situation nous le permettra.

Emile Ghattas

Père Émile Ghattas est né en 1968 à Alexandrie, en Égypte, et après avoir étudié l’agronomie à l’Université d’Alexandrie, Il est entré dans la Congrégation de la Mission (Lazaristes). Il a été ordonné prêtre le 23 septembre 2000.
Pendant 12 ans, il a travaillé dans l’éducation des jeunes au Moyen – Orient. À partir de 2012, il a servi à la Chapelle de Notre Dame de la Médaille Miraculeuse, Paris. A partir de 2017, il est supérieur de la Mission des Lazaristes à Villebon sur Yvette-France. Emile parle arabe, anglais et français.

Jean-Luc Facqueur

Co-aîné d’une fratrie de huit garçons, j’ai la particularité d’être jumeau et d’avoir six petits frères. Ainsi, vous comprendrez comment l’importance de la communion fraternelle a été inscrite, dès le début de ma vie terrestre, au plus profond de mon cœur.

Enfant de la Vallée de Chevreuse où je suis arrivé en 1963 à l’âge de deux ans et demi, j’ai grandi avec le département de l’Essonne et le diocèse d’Evry, créés en 1966.

Passionné de sport, épris de justice, j’ai pratiqué le tennis de table, fait des études de droit, me suis engagé dans le domaine politique, et ai travaillé quelques années comme conseiller juridique. J’espérais par ces différents moyens contribuer à transformer notre société en un monde meilleur. Mais, au fil des ans, je me suis rendu compte que si l’Amour, autrement dit Dieu, n’était pas davantage présent au cœur de nos relations et de nos projets, la transfiguration que j’espérais ne se réaliserait pas.

Je suis donc entré au séminaire à l’âge de 30 ans et en suis sorti huit ans plus tard, après trois années passées à Ars-sur-Formans auprès de Jean-Marie Vianney, saint Patron de tous les curés de l’univers, puis cinq années à l’Institut catholique de Paris.

Prêtre diocésain depuis 22 ans, une métaphore me semble exprimer mon ministère : celle du « couteau suisse ». Petit compagnon de route discret, il peut être utile dans de nombreux domaines de la pastorale. Muni de plusieurs lames, tel un «glaive à deux tranchants», il aide à discerner, dans la complexité des événements, ce qui est porteur de Vie et de fécondité.

Après avoir accompagné plus d’un tiers des secteurs pastoraux de notre diocèse, je suis heureux de revenir dans la vallée de mon enfance et j’ai hâte de vous découvrir, vous que je n’envisage que masqués depuis le mois de septembre.